
Dans l’bourbier puant d’Grimtor, où l’purin éclabousse plus fort qu’les malédictions, The Rolling Trolls défoncent tout avec leur folk-rock énervé, teinté d’punk médiéval qui fait saigner les oreilles des wyrms ! Leur son ? Un luth qui crache des accords comme des haches, une cornemuse qui hurle pire qu’un troll bourré, et des tambours qu’on dirait des tonneaux explosés dans une forge maudite. D’où viennent-ils ? Mystère et bière frelatée ! Certains caquent qu’c’est des trolls bannis d’Krassrok, d’autres qu’un mage saoul les a vomis d’un grimoire maudit. Peut-être juste des gueux qu’ont piqué des instruments dans une taverne en flammes !
Leur musique, c’est une émeute : des riffs qui démolissent les murs, des chants qui parlent d’fracasser des squelettes, d’piller des chariots d’patates, et d’cracher sur les bardes mielleux. Leur hymne, Satisfaction (d’foutre l’bordel), a fait s’crouler la Taverne bancale, avec l’toit qui s’vautre sur l’public et des chopes qui volent dans l’fossé ! Mais attention, un concert des Rolling Trolls, c’est l’chaos : leur « chanteur » (un gus louche sous un heaume défoncé) balance des haches sur scène, l’guitariste troll s’prend l’pied dans ses cordes, et l’batteur fait péter l’estrade avec une massue volée. Les compositeurs ? On raconte que des « scribes d’la fange » griffonnent leurs textes sur des peaux d’orc, mais l’seul qu’a vu leur parchemin s’est pris un tonneau dans l’crâne !
Les Rolling Trolls, c’est pas d’la musique, c’est une baston ! Ils s’foutent des rois, des dragons, et d’toute c’te merde romantique. Quand ils jouent, les tables s’cassent, l’hydromel gicle, et les héros ratés s’mettent à pogoter… jusqu’à c’qu’ils s’vautrent dans l’purin, hurlant « À mort l’amour ! » Allez, Grimtor, prépare tes tripes, les Trolls arrivent pour tout défoncer !e des
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